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Die Ost-Berlin RICHTER
Une disparition tragique

Le journal "der Berliner" se doit de vous faire part de la tragédie qui s'est déroulée avant-hier soir, dans le bloc n°18 de Berlin-Est: Franz Lieb, rédacteur en chef du "Zeit", confrère très estimé et reconnu dans le milieu, à trouvé la mort.

Hier, dans la soirée, les voisins, surpris de ne pas le voir sortir de chez lui comme à son habitude et le soupçonnant "de ne pas vouloir effectuer la part de travail qui lui incombe pou le bien être de la société" selon les dires de ceux-ci, ont prévenus les forces de police afin que celles-ci le traînent de gré ou de force à son bureau.

"Il se faisait plus que de raison porter malade, et nous, on est d'honnêtes citoyens. Y'a pas de raison que certains travaillent pendant que d'autres feignantent, qu'on s'est dit, alors on va prévenir la police, qu'on s'est dit, pour lui donner une leçon !"

Mais la vérité était de toute autre nature, puisque LIEB s'était en réalité donné la mort, par pendaison, avant de se tirer une balle dans le crâne et d'avaler une boîte de tranquilisants pour chevaux. L'arme n'a pas été retrouvée, mais les enquêteur ont déjà trouvé la cause de ce suicide, puisque Lieb a écrit une ultime lettre pour expliquer son acte.

"Mes propos ont dépassé ma pensée, je le regrette infiniment. Jamais je ne pourrais plus vivre en paix après avoir incidieusement calomnié le régime qui fait notre bonheur à tous. Longue vie à la Ligue!" signé: F. Lieb

C'est une très lourde perte pour la presse tout entière, puisqu'avec sa mort disparaît le "Zeit", qui, par une dramatique coïncidence, à pris feu ce matin. Ce serait l'oeuvre d'un dangereux criminel qui est dès maintenant activement recherché. La police a dressé le portrait robot de cet homme et le recherche activement. Toute information concernant cet homme est la bienvenue.

Klaus Wurst, pour le "Berliner"

 

Ecrit par KolonelGunther, le Samedi 20 Septembre 2003, 12:27 dans la rubrique "News".


Commentaires :

  SHB
20-09-03
à 18:28

L'incendiaire était dans l'escalier

Je me permets de vous faire profiter de mon expérience dans ce genre d'affaires... Il me semble évident que l'incendiaire n'est nul autre que Franz Lieb qui, rongé par le remords, s'est ensuite donné la mort. Il est mort avant l'incendie? Peu importe, il avait installé un dispositif incendiaire à retardement. Il n'avait aucune raison de mettre le feu? Peu importe, un homme qui avait sombré dans la dépression peut commettre les actes les plus irréparables par pur désespoir. Si le besoin s'en faisait sentir, je suis persuadé que le cabinet O.J.Simpson & Co. (New York) sera en mesure de vous fournir des témoins (à charge et/ou à décharge) contre une modeste participation financière.

  SHB
20-09-03
à 18:31

Autopsie

L'autopsie aurait très bien expliqué les circonstances du suicide. Certains avaient parlé de meurtre, que nenni! En fait le célèbre journaliste avait tout d'abord avalé ses tranquilisants. Puis il s'était passé la corde au cou, avant de se tirer une balle dans la tête. Son corps s'est alors affaissé, donnant l'apparence d'une mort par strangulation. Vraiment rien d'anormal, ni d'inexpliquable dans cette mort, tout me semble limpide.

  KolonelGunther
21-09-03
à 13:54

Re: Autopsie

J'en suis entièrement convaincu. Les mauvaises langues ont avancé qu'on n'avait pas retrouvé le pistolet qui a servi au suicide: après une petite enquête discrète, la police a déduit que la femme de ménage l'avait emporté. Celle-ci, tragiquement veuve depuis quelques heures, a été interrogé, et a fini par avouer; elle souhaitait se servir de l'arme pour commettre un attentat répugnant contre un haut dignitaire du Parti. Elle a également avoué avoir mis le feu au Zeit, bien que ses motifs n'apparaissent pas clairement.

Il va sans dire que ces actes ignobles et prémédités a été sévèrement puni et que la femme de ménage balaye désormais un camp de travail en attendant sa prochaine exécution.


  Maklan
22-09-03
à 15:20

Le Comité Directeur pour les Affaires Etrangères présente ses félicitations à la police berlinoise pour avoir si diligemment enquêté sur le suicide d'un dissident dans une affaire qui ne méritait pas tant de rafut. Cette enquête rondement menée permettra sans nul doute de mettre un terme aux spéculations de journalistes peu scrupuleux de leur devoir d'information, symptôme bien connu de la molesse du régime trop bienveillant est-berlinois.


  KolonelGunther
22-09-03
à 21:42

Re:

Certes notre Régime est bienveillant. Mais les citoyens passent avant tout, et nous ne commettrons jamais de sévices tels ceux qui ont cours en Russie, pays dépravé entre tous. JUSTICE, tel est mon nom, que dis-je, NOTRE nom à nous, Partisans de la Ligue.

Kolonel Gunther, Richter


  Maklan
23-09-03
à 10:58

Re: Re:

La plupat des spécialistes économiques sont poutant fomels : nous sommes entés dans une société de sévices au début du 21ème siècle et la tendance s'est confimée jusqu'à nos jous. Kasnoïask ne fait qu'applique les aisonnements économiques en vigueu afin d'aide à un développement hamonieux du mode de vie de nos camaades.