C'est reparti comme en 40 ! Le duel franco-allemand aura tourné au massacre. En effet, les poitevins ont subi une avalanche de coups, et si Ingo Marques, économisé par son coach, s'en sort, après un premier quart-temps catastrophique, il n'en va pas de même pour "King" Echavarria, actuellement dans le coma.

Spectateurs : 15 250

OST-BERLIN RICHER:

Blitz Demyanekno

Buts : 2/4 (3eme & 4eme QT)

Bonus : 0

Passes : 0

Interceptions : 0

Kills : 0

Zorn Gottes Soe Lwin

Buts : 0

Bonus : 0

Passes : 1

Interceptions : 0

Kills : 0

Dieter Voller

Buts : 0

Bonus : 0

Passes : 1

Interceptions : 1

Kills : 0

Dread Claesen

Buts : 0

Bonus : 0

Passes : 0

Interceptions : 0

Kills : 1 (4eme QT)

Dinomir Mainaky, Dieter Voller, Andromalius Vacarella

Buts : 0

Bonus : 0

Passes : 0

Interceptions : 0

Kills : 0

POITIERS DRAGSTARZ:

La Grande Goule Meyers

Buts : 0

Bonus : 5

Passes : 0

Interceptions : 0

Kills : 0

James Stewart

Buts : 0

Bonus : 0

Passes : 1

Interceptions : 0

Kills : 0

Koukoulina Gougoulitsas, King Echavarria, Carlos Fabiano, Jybe Ratsimbasafy, Tim Levene, Ingo Marques

Buts : 0

Bonus : 0

Passes : 0

Interceptions : 0

Kills : 0

Kolonel Gunther (à propos du match) : Nous avons effectué un bon match, qui nous a permis de mettre à jour une petite erreur défensive, rien de très grave. Les Dragstarz n'étaient vraiment pas concentrés, on en a profité ! La seule déception est à mettre sur le compte de "Blitz" Demyanekno, qui s'il effectue un bon match, avec cent pour cent d'esquives, manque tout de même deux tirs fort proche du but, dont l'un devant la cage vide ! Je comprend qu'on rate quand on se trouve face à Meyers, mais sinon... Ca aurait pu -et ça aurait dû !- faire 18 à 5 à la fin du match... Mais il ne faut pas avoir de regrets, les trois points sont là et ils font du bien.

Enfin un kill, par "Dread" Claesen, qui porte on ne peut mieux son nom... Votre stratégie offensive était basée essentiellement sur la frappe et ça paye, vous inscrivez un but de sucroit... Allez vous continuer sur la lancée ?

KG : Je m'étais toujours retrouvé du côté des frappés, comme contre Barcelone, ou encore contre les Corbeaux... Aber notre équipe dispose d'un fort potentiel de frappe, presque comparable à celui des Corbeaux justement, et j'en ai profité, ça a payé, tant mieux. De là à dire que je vais continuer sur ma lancée... C'est une stratégie risquée, il ne faut pas craindre d'encaisser des buts, et donc il faut en marquer derrière, et ça c'est pas gagné.  

La fin de saison approche, on vous sent plus optimiste que la semaine passée. Comment allez-vous appréhender les trois dernier matchs ?

KG : Concernant la fin de saison, je persiste à dire que les Scimitars seront notre plus redoutable adversaire. Les deux matchs suivants se joueront heureusement à domicile, et je prédit une fin de saison chaude. J'attend tout particulièrement le final au Tribunal contre Auckland... L'occasion pour Bud Wiser de prendre une revanche amplement méritée au vu du match de la saison passée (ndlr: score final: 8 à 7 pour les Richter qui avaient su stopper lors des ultimes secondes un Immanuelli Little intenable par la suite). A noter le final particulièrement éprouvant des Darks, puisqu'ils affrontent également le nouvel ogre de Platinium, les Shaolins, ainsi qu'une équipe très physique de Barcelone, qui devrait tout faire pour rester en Platinium.

Cette journée aura été très bénéfique pour le club, n'est-ce pas ?

KG : En effet, nous avons recruté deux joueurs, le jeune Busk en provenance de nos voisins berlinois... L'avenir nous dira si nous avons bien fait !, ainsi qu'un joueur peu expérimenté mais qui a pourtant des qualités indéniables, à savoir l'allemand Bernd Roller... Sans oublier trois nouveaux jeunes ! Ja, c'est une bonne journée, ça fait un bien fou !

Merci Kolonel, et bonsoir !

Klaus K. Inskij, pour le Zeit Magazine